Libertinage et échangisme...Partie 6

Publié le par Maky

Le site Québec avec un Q vous a preparé des récits érotiques, qui j'espère vous metteront l'eau à la bouche et remplirons votre imagination d'images de toutes sortes. Merci à vous d'avoir suivi ces articles, qui j'espère vous ont fait découvrir un univers un peu different de la routine. N'hésitez pas a laisser vos commentaires à la fin de chacun de nos articles. Bonne lecture!

Récits érotiques
Sur Québec avec un Q, le sexe se raconte... Plus suggestifs que des images, nos récits érotiques sans prétention, n'ont qu'une seule vocation : vous permettre de passer un joli moment à imaginer, rêver, que le partenaire décrit c'est vous !

Plage de nudiste

Un été avec les potes, on voulaient se faire un délire. Juste à côté de notre camping, il y avait une plage nudiste privée et on s’est dit, chiche, on y va. Arrivés à l’entrée, un gars nous a demandé de nous défringuer. Devant nos gueules d’ahuris, il dit : « si c’est juste pour mater, allez donc voir ailleurs si j’y suis. » J’ai été le premier à me mettre à poil : « mes parents sont naturistes et je dois les rejoindre là bas » Je pointais un doigt dans le vague sur la plage. « Bon alors si c’est comme ça, allez-y. » Mes potes n’en menaient pas large mais ils ont suivi le mouvement. On s’est donc retrouvés tous à poil sur la plage, assez gênés en fait. Sur les serviettes à côté de nous, une mémé allongée sur le ventre exhibait ses bourrelets. Pas très bandants ! On continuaient un peu et là oh merveille, une nana la trentaine allongée sur le dos, les jambes bien écartées nous attendaient. Elle était seule apparemment (il n’y avait qu’une serviette). Et je m’installais juste à côté d’elle en semi érection. Les potes intimidés n’avaient pas oser m’imiter… Ils restaient penauds, les mains sur le sexe à nous regarder à bonne distance. La nana était vraiment craquante. D’un naturel décoiffant, elle laissait le vent lui chatouiller l’entrejambe avec délectation apparemment. J’entamais la conversation avec une connerie : « L’eau est bonne aujourd’hui ? » Elle me regarda enfin et son œil surfa sur mon sexe. « Oh oui, délicieuse ! Je vais pas tarder à y retourner. » Ses tétons tout roses se dressaient sous l’effet du soleil et du vent. Elle me regardait toujours et me dit soudain : « tu viens te baigner ? » Elle se releva d’un geste et couru vers la mer. Je la suivais sans me faire prier. L’eau était fraîche mais bonne. Je m’enfonçais doucement dans les ondes jusqu’à la ceinture. La fille avait plongé direct et je ne la voyais plus. Quand soudain, je l’ai senti juste derrière moi. Elle s’approcha à me toucher et me glissa dans l’oreille : « T’es pas naturiste toi hein ! On les repèrent à 100 mètres les bleus de ton genre ! Mais c’est pas grave, j’ai envie de m’offrir une gâterie aujourd’hui. Tu feras tout à fait l’affaire. » Sa main m’attrapa le sexe dans l’eau et elle commença à m’échauffer. Vite fait, je bandais sec et la fille glissa devant moi. Elle s’accrocha à mes épaules en m’enserrant les reins de ses cuisses. La sensation était exquise. Elle guida mon sexe dans son vagin et se mis à gigoter dans tous les sens pour qu’il s’enfonce profondément. J’étais en elle et je sentais sa chatte me happer goulûment. Elle me dit : « c’est pas très pratique dans l’eau. Si tu veux on va remonter sur la plage pour finir ce qu’on a commencer. » Le soleil déclinait et la plage se vidait. Mes potes étaient toujours là à se demander ce que je bricolais. Arrivés sur la plage, ils ont vite vu que je n’avais pas perdu mon temps. La queue au vent, j’enfilais la belle en levrette devant eux !

Pelotage en règle dans le métro

J’adore prendre le métro. Quand il y a du monde, c’est tellement agréable de sentir les corps se presser… On peut même tenter des trucs sympas, juste comme ça pour rigoler. Et des fois même, ça dépasse les espérances ! C’est ce qui m’est arrivé l’autre soir. C’était l’heure de pointe, et on était serré comme des sardines. Un mec est venu se coller à moi juste derrière. Je sentais son sexe toucher ma jupe. Le métro a freiné et je me suis retrouvée projeté sur lui. Comme je lui écrasais un tantinet les pieds, il a tenté de repousser mon talon massacreur en m’attrapant la cuisse. J’ai senti sa main glisser sur moi et j’ai laissé faire.

Enhardi par mon manque de réaction, la main remonta doucement jusqu’au bas de mon tee-shirt. Elle se glissa en dessous pour remonter et happer un sein. Je laissais faire encore, accentuant mon appui sur l’homme à la main si douce. Soudain, je sentis l’autre main remonter sur mes fesses, suivre l’élastique de ma jupe pour se retrouver sur le devant. Une douce sensation de bien être m’envahie. La main plongea sous la jupe et s’insinua sous mon string. Elle caressait ma toison sans précipitation. Je me mettais en déséquilibre pour dégager mon entrejambe. La main continuait son manège en jouant avec mes poils pubiens. J’attendais haletante qu’elle décide de descendre encore… Mais non.

Un brin déçue je voyais le métro s’arrêter puis repartir. Nous étions toujours aussi serrés et je décidais de glisser une main sur mes fesses pour tâter plus à l’aise ce qui ressemblait bien à une érection. Le pantalon de l’homme présentait une jolie boursouflure que je m’empressais de flatter de la main. Je soupesais les bourses en espérant que ce geste inciterais mon peloteur à plus de hardiesse. Nouvel arrêt et on repart. La main baladeuse toujours sur mes seins lâcha prise pour rejoindre elle aussi l’élastique de ma jupe. Elle s’aventura sur mes fesses. Je me cambrais. Et l’homme suivit de sa main la raie de mes fesses. La caresse était douce mais décidée. La main descendait toujours et je sentis bientôt un doigt sur mon anus. L’arrêt fut bref. L’homme voulait apparemment autre chose.

Son souffle chaud sur ma nuque m’indiquais qu’il était en transe. Sa queue sous mes doigts enflait à vue d’œil. La main poursuivit son chemin. Et c’est là que je sentis un doigt fier et bien décidé me pénétrer. La main de devant avait aussi fait son chemin et me titillait le clito sans ménagement. Je mouillais comme une folle et les deux mains me perforaient de la plus délicieuse des façons. Bientôt, deux doigts étaient en moi et opéraient des va et vient presque insoutenables de plaisir. J’écartais encore plus les cuisses et soudain, je me rendis compte que c’était la station où je devais descendre. Je n’eus pas la force de m’arracher à cette délicieuse caresse qui s’arrêta trois stations plus tard quand la cohue s’apaisa. L’homme se sépara à regret de mon corps par peur des regards alentours. Il se hâta de cacher son érection en rabattant sa veste et me fit un joli sourire en guise de remerciement.

Vas-y si tu veux !

Quand j’y repense j’ai honte ! Mais sur le coup, j’étais tellement excitée et curieuse que je ne me suis pas rendue compte ! C’était un soir. J’étais à la maison en train de glandouiller quand mon voisin Luc s’est invité à l’apéro. Je savais pertinemment que je ne craignais rien puisque c’est un secret pour personne, Luc aime exclusivement les mecs ! Du coup, je n’hésite jamais à lui ouvrir ma porte et ce soir là, il s’est installé dans mon canapé le plus naturellement du monde alors que j’étais en tenue plus que légère. Luc est ce que l’on appelle un beau mec. Ce black grand et baraqué est vraiment superbe ! « Si j’étais un gay, je n’hésiterais pas une seconde : je te pomperais la queue avec délice. » La conversation était lancée et franchement en plus !

Je ne sais pas vraiment ce qui m’a pris ensuite, je lui demandais comment il aimait faire l’amour… Et là, il m’a étonnée en répondant plus que franchement à ma curiosité. « J’aime surtout qu’on m’encule. C’est jouissif ! » Et le voilà qu’il m’explique comment ses amants le font décoller du sol en l’enfilant sans même de préliminaires. C’est là que les choses ont dérapées.
« Tu n’encules jamais toi, c’est pas ton truc ? Pourtant il paraît que les blacks ont des bites énormes… Ca doit leur donner envie de se faire mettre par ton engin, non ? A moins que tu sois une exception à queue courte… » Devant ma curiosité insistante et mes sous entendus douteux, il me dit qu’il était plutôt bien monté… Je le narguais : « Des promesses, toujours ! Vous les mecs, vous êtes toujours forts en gueule…» A ces mots, il me demanda si ça m’intéressait de jeter un œil. Je suis restée comme deux ronds de flanc ! Devant ma mine déconfite, il a ouvert sa braguette pour me montrer.

Et elle était énorme déjà malgré le fait qu’elle soit au repos. Hypnotisée j’approchais de façon indécente la main et je me ravisais au dernier moment sentant tout le grotesque de la situation. « Tu veux toucher ? » me demanda t-il. « Vas-y si tu veux. » En fait, je n’en avais jamais vu une si grosse et l’idée de toucher était plus que tentante. J’ai approché la main pour tâté la bête et j’ai senti palpiter le sang sous mes doigts. « Quand elle est raide tu verrais… » A ces mots, la queue commença à gonfler comme par magie. Aussi étonné que moi il m’avoua qu’il n’avait jamais été touché par une femme, que c’était nouveau pour lui. « J’ai toujours été persuadé que ça me laisserait de glace… Continue pour voir, je suis curieux de voir ce que tu arriveras à faire ! »

Le pari était lancé. Il voulait que je le fasse bander dur. Je l’astiquais soigneusement et sans réfléchir, je posais mes lèvres sur cette verge appétissante. Il se laissa faire sans broncher et je lui pompais le dard comme je sais faire. Cinq minutes après il me tirais les cheveux pour que j’arrête. A peine dégagée il m’a giclé dessus. Le lendemain, je recevais un énorme bouquet avec un simple mot : « merci pour cette bien agréable soirée » signé Luc.

Première fois

Marie était en terminale. Toujours vierge, elle attendait sans impatience qu’une « occasion » se présente. Evidemment, elle avait déjà eu quelques flirts qui lui avait donner un avant goût de ce serait l’acte d’amour. Son dernier petit ami avait tout fait pour la convaincre. Un jour, il lui avait glisser un doigt et elle avait adoré. Mais quand il lui avait demandé de prendre son sexe dans ses mains pour qu’elle l’excite, devant ce « machin énorme », elle avait reculé. La veille de son premier jour d’épreuve du bac, sa mère lui avait dit : « arrête les révisions ! Détends toi ! Va au ciné ou faire du shopping. » Marie hyper stressée opta plus pour le ciné. Le dernier Lelouch venait de sortir et elle se dit que cela serait une bonne idée. La séance de 15 heures serait parfaite. Elle voulait se coucher tôt pour être en forme le lendemain.

La salle était presque vide. Elle s’installa presque au dernier rang. Après les pubs, un homme vint s’installer juste à côté d’elle. « Evidemment » pensa-t-elle, « il y a plein de place partout et cette andouille ne trouve rien de mieux que de se coller à moi. » Le film commença. Au bout d’un quart d’heure, elle senti une main se promener sur son genou. Elle la repoussa vivement. Mais tout de suite après, elle senti quelque chose se plaquer sous sa jupe, juste sur son sexe. Médusée, elle resta sans réaction. L’homme avait écarté ses cuisses et écarté son string. Sa langue fouineuse avait tout de suite trouvé son clito et Marie avait immédiatement adoré. Elle se dit : « profite ma fille. De toute façon il ne pourra pas aller bien loin… Y a quand même du monde autour !»

Des vagues de chaleur montaient dans son ventre. Elle sentit un doigt, puis deux s’insinuer. Et elle trouva l’expérience particulièrement irrésistible. Au lieu de repousser le gars, elle entama instinctivement des mouvements de bassin. Elle mouillait et les doigts glissaient tout seul en devenant de plus en plus invasifs. Elle écarta encore plus les cuisses pour se laisser pénétrer plus profond. Le gars en profita pour faire glisser le string et reprendre un cunnilingus appliqué. Marie eu vite son premier orgasme. Avant qu’elle est eu le temps de reprendre ses esprits, le gars releva sa jupe avant de s’installer sur elle.

Marie se surpris alors à guider la queue énorme vers son sexe. Elle remarqua tout de suite qu’il avait enfilé un préservatif ce qui la rassura. Elle saisit les hanches de ce partenaire audacieux et d’un coup il pénétra son antre avant d’entamer des va et vient exquis. Marie avait perdu sa virginité sans même l’ombre d’une douleur ! Une onde de plaisir monta encore et l’homme se retira juste après avoir ’éjaculé. Marie pantelante, cuisses écartées avait à peine eu le temps de reprendre son souffle que déjà l’homme avait disparu. Elle n’avait même pas eu le temps de voir son visage !

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Publié dans Sexualité

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